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Propagande écologiste : la preuve par 74.

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

   Dans un sondage pour voyagermoinscher.com, rapporté par le Quotidien du tourisme, le tourisme vert profite surtout aux industriels du tourisme. Rien de nouveau. On sait bien que l'écologie est un sport de riche : les parisiens le savent bien, qui le payent chaque jour de leur personne ! Je ne parle pas du scandale des lampes dites "basse consommation", etc.

   Mais ce qui est amusant dans ce sondage, c'est que les trois quarts des français interrogés (74%) disent trouver le tourisme vert trop cher et profitable pour les industriels surtout (autrement dit, le tourisme vert est surtout un tourisme capitaliste et inégalitaire), tandis que la même proportion "pense que c'est l'avenir".

   Toujours d'après voyagermoinscher.com, le site qui vous veut vraiment du bien, par la voie de son DG, "Le tourisme responsable pâtit d'une mauvaise image auprès de trop nombreux Français, c'est un à priori que nous devons changer pour faire évoluer les comportements".

Image... Comportement qu'il faut faire évoluer...

   Si c'est un patron d'entreprise privée qui vous le dit, c'est sûrement que c'est pour le bien de tous !

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Cancun : le réchauffement climatique reste le cheval de Troie de l'ONU

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

   La réunion de Cancun, sous l'égide de l'ONU, poursuit son travail de sape de l'économie planétaire et des gouvernements nationaux. Comme à Copenhague, il s'agit d'affirmer, envers et contre tous y compris de nombreux scientifiques, la primauté du modèle "Carbone" sur d'autres hypothèses.

   Ban Ki-Moon déclare : "By closing the gap between the science and current ambition levels, we can seize the opportunity to usher in a new era of low-carbon prosperity and sustainable development for all." (En comblant le fossé entre la science et les niveaux des objectifs actuels, nous pouvons saisir l'opportunité de nous engouffrer dans une nouvelle ère de prospérité sans énergies fossiles et de développement durable pour tous.)

   Ce type de discours, donnant tous pouvoirs à la science, nous rappelle les origines du militantisme écolo, avec Bertrand Russell, Gregory Bateson et consorts. Après le fiasco de Copenhague, ce n'est pas étonnant.

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Sondage IFOP sur le réchauffement climatique : les résultats de la propagande

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

L'émission hier soir sur France Inter était très représentative de l'ambiance qui a toujours régné autour de la question du réchauffement planétaire d'origine humaine. Le décalage entre l'académie des sciences et le discours journalistique laisse pantois.

L'émission Le Téléphone Sonne était essentiellement consacrée à l'impact du discours sur le réchauffement planétaire d'origine humaine et non sur sa réalité. 75% de personnes convaincues est-il un bon score au regard des méthodes de bourrage de crâne employées, sur France Inter en particulier ?

L'essentiel du plateau était constitué d'habitués de ce discours, de toutes les façons. Bonjour la science !

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L'écologie peut-elle être autre chose que benête ?

par Erasmus Tharnaby

publié dans Ecologie-Ekologio

   L'écologie peut-elle être autre chose qu'une idéologie de la moins disance ? Que ses arguments soient idiots ou pas, y a-t-il quelque chose à garder de l'idéologie écologiste actuelle ?

   En tous cas, c'est la question qui vient à l'esprit après la lecture de l'article collectif proposé par le site de Michel Collon.

   Il est téléchargeable aussi en PDF.

   Les lecteurs de ce blog connaissent la réponse.

   Le terme même ECOLOGIE identifie l'idéologie dont il est issu. Pour nous ici, il n'y a rien à garder tant que l'humanité n'est pas placée au premier rang des bénéficiaires d'une vraie politique environnementale. C'est un fait, aujourd'hui, l'écologie milite surtout pour la réduction du nombre d'êtres humains sur la Terre, une politique destinée à faire en sorte "que rien ne change" pour les puissants.

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L'énergie est notre avenir : Produisons-la !

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

    Pour brocarder ce fameux slogan, entendu en boucle sur les radios, on peut dire : "L'énergie est notre avenir : produisons-la !". A ce titre, il est heureux que la responsabilité de la politique de l'énergie ne soit plus sous la coupe du ministère de la politique malthusienne (Ministère de l'écologie) mais sous la tutelle, plus logique, du Ministère de l'industrie.

    Néanmoins, l'espoir de voir naître en France une politique ambitieuse de l'énergie n'est pâs pour autant conforté tant les options du gouvernement en matière économique orientent l'économie française vers la décroissance, comme si le "président" avait eu pour mission d'éviter à tout prix la vraie croissance : celle des emplois et de l'activité des classes moyennes et défavorisées.

    En effet, les hausses du prix de l'énergie, destinées à compenser la politique délirante en faveur des énergies dites renouvelables, frappent en priorité les classes moyennes et défavorisées.

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L'écologie et le groupe Bilderberg.

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

A ce sujet, les écologues actuels et à venir peut regarder un film concernant les origines historiques de leur discipline favorite. http://video.google.com/videoplay?docid=1070329053600562261#

Ilspeuvent aussi lire l'article :

http://www.article11.info/spip/Eugenisme-ecologie-et

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PS et Europe Ecologie : une même ligne de partage

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

   Difficile de ne pas voir la même ligne de partage eu PS et dans le nouveau parti écologiste en cours de formation. Les deux partis auront vocation à affirmer leurs valeurs humanistes, mais on sent bien qu'il y a, ici et là, les tenants d'une ligne à gauche et ceux d'un ancrage de façade.

   Les partisans de M. Strauss-Kahn ne cachent pas leur attachement au socio-libéralisme dans la droite ligne des derniers errements de la Jospinie d'antan. Dans l'hypothèses que le patron du FMI accède aux plus hautes fonctions de l'Etat français, les banquiers n'auront pas trop de mouron à se faire pour pouvoir continuer leurs petits arrangements avec les peuples qu'ils ponctionnent.

 

   Même guerre de tranchée chez les écologistes, où Cécile Duflot est positionnée plutôt vers une écologie sociale (Oh, le bel oxymore !) basée sur la fiscalité et la présence de l'Etat, et Eva Joly, ancienne du MODEM, vers le socio-libéralisme.

 

   Dans les deux cas, on assiste à une fracture irréparable de deux camps inconciliables.

On ne le dira jamais assez : l'écologie malthusienne (pléonasme), idéologie d'extrême droite, n'est pas à sa place à la gauche du spectre politique. En aucun cas les visions délirantes du Club de Rome ne peuvent servir de support à un discours politique social et républicain.

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Ecologie de la famille monoparentale

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

   Hier midi, au journal des actualités régionales, était décrite la vie d'une maman élevant seule son enfant. On pourra retrouver le sujet sur le site de FR3.

   Il s'agissait de montrer le mérite d'une mère seule réduite à la débrouille parceque son salaire ne suffisait pas pour vivre. Les charges payées ramenaient son encours du mois à 150 euros. Elle est ce qu'on appelle un travailleur pauvre. Le journaliste a tracé le portrait, hélas, biaisé d'une femme organisée, débrouillarde, cultivée et disposant de relations. Tenace, elle parvenait à résoudre ses problèmes par toutes ces vertus.

   La réalité est sûrement plus mitigée, pour le dire par euphémisme.

   Qu'importe ! L'image la plus saisissante du reportage était probablement le sourire de la maman expliquant comment, quand on ne prend pas de repas le midi, l'estomac se rétrécit. Si on a faim au début, progressivement la sensation de faim disparaît.

   On a alors l'image la plus précise du projet de l'écologie malthusienne. Malthus disait que les enfants dont le père n'a pas assez d'argent pour les nourir doivent mourir. On ne peut illustrer plus exactement cette maxime par ce reportage. Car nul doute qu'après les hausses du gaz et de l'électricité, ce sera aussi le repas du soir que cette jeune maman devra escamoter, avec la résignation qu'incite la culpabilité généralisée issue de l'écologie.

   La faim, la dégradation des conditions de vie, la misère organisée, mais avec le sourire.

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Transport de déchets nucléaires : approximations et contradictions

par Erasmus Tharnaby

publié dans Europe-Euxropo

   A l'occasion du transport mouvementé des déchets nucléaires à Gorleben, les différentes factions écologistes se sont exprimées, rivalisant de finesse verbale pour marquer les esprits, avec l'acharnement des grandes causes...

   Jamais en retard d'une approximation scientifique, les militants de Sortir du Nucléaire ont déclaré, selon Le Point, que la quantité de matière transportée "représente deux fois celle dégagée par la catastrophe de Tchernobyl". Ces métrologistes pointilleux ont été retoqués par M. Neaux, d'Areva. Evidemment...

   L'essentiel est de remplacer une position minoritaire par une querelle de chiffre, et de faire  semblant de s'y connaître. On peut, de cette façon, continuer d'essayer d'exister et faire semblant d'avoir voix au chapitre.

   Evidemment, il est bien difficile d'accorder le moindre sérieux à ce type d'allégation, tout comme aux promesses de non-violence de gens comme Greenpeace. Faire du spectacle, fût-il navrant, au lieu d'attaquer le débat sur son versant scientifique, c'est la voie choisie par l'idéologie écologiste actuellement. On peut se réjouir de ce choix tant qu'il ne mène pas à des décisions absurdes et irresponsables.

   C'est, hélas, la cause d'une propagande irrationnelle et honteuse où le mot Tchernobyl revient à chaque réplique comme une référence, comme une indécence. C'est aussi, pour nos dirigeants locaux et nationaux, bien souvent le prétexte à des décisions aussi stupides que coûteuses pour les finances publiques. C'est bien dommage.

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Des nouvelles piles à usage intermittent

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Encore une nouvelle que vous n'avez pas lu et que vous ne lirez pas sur les sites écologistes :

 

Brother vient de développer une pile qui se recharge en la secouant !

 

Pour des usages ponctuels comme les télécommandes d'appareils électroménagers, ce serait un progrès considérable. Et la fin d'un VRAI gaspillage de matériaux coûteux et difficiles à recycler.

Il suffit d'agiter quelques secondes l'appareil pour qu'il soit prêt à fonctionner. Brother a empaqueté son dispositif sous la forme d'une pile R6 ou R3, ce qui le rend compatible universellement. L'énergie est notre avenir : PRODUISONS-LA !

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