Fukushima et la bio-diversité politique
Désormais, et ce sera pareil tous les ans, nous aurons l'anniversaire de Fukushima tous les 11 mars, orchestré par les écologistes. Histoire de nous rappeler qu'ils existent, ces petits dictateurs des bons sentiments forment de longues chaînes de l'espoir, d'interminables ribambelles promotionnelles de la bêtise humaine, d'innombrables festivals de l'évidence qui font les ouvertures des 20h, quand Pujadas oublie parfois de nous rappeler qu'il neige en hiver...
Ces liquidateurs du bon sens, ces exterminateurs de l'intelligence humaine, ces promoteurs du mensonge organisé que sont les écologistes passent alors à l'action et prennent en otage les 20000 morts du tsunami japonais pour nous faire croire que les catastrophes naturelles deviennent plus fréquentes à cause des pêts des vaches, des voitures et des actionnaires de TEPCO...
C'est qu'il est urgent de les voir nous infliger leurs chaînes humaines !
Tout gonflés de leur importance, ils peuvent oublier qu'ils n'existent plus : bilan indigent au gouverment, réchauffement planétaire décevant, grands sommets internationaux transformés en vulgaires festivals des petits fours... Ils voulaient faire de nos ville un enfer pour automobilistes, arguant de progrès considérables dans la façon de circuler en ville : les parisiens commencent à les prendre en grippe et à trouver la facture Cochet plutôt salée. Dans les villes moyennes, les plans de circulation à la con commencent aussi à faire des vagues.
Alors pour promouvoir la biodiversité politique, les écologistes cherchent à mener des actions pour eux-mêmes : sauvons l'écologiste en voie de disparition ! Qu'importe si l'on foule aux pieds le chagrin, authentique celui-là, des Japonais survivants des catastrophes.
Des chaînes humaines... c'est bien trouvé, après tout ! Les Japonais ont désormais des chaînes humaines aux pieds.