Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Neutralité politique dans l'éducation : écologie et hypocrisie

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Verriez-vous, cher lecteur, dans un manuel scolaire disons de géographie, la théorie marxiste de l'économie du capital exposée en long, en large et en travers, saisissant tous les prétextes pour placer ses maximes, illustrer ses principes par l'exemple, moraliser les données exposées, stigmatiser les bons et les mauvais comportements, les bonnes et les mauvaises valeurs, etc.

Eh bien, c'est pourtant ce qui se passe actuellement dans les manuels scolaires avec l'écologie. Jusqu'à présent, l'écologie est une doctrine politique, une façon de moraliser le quotidien, de discriminer le bon du mauvais, d'indiquer une direction utopique propre à orienter nos plus petites actions.

L'écologie est représentée par plusieurs partis, comme le marxisme et ses variantes. Il est présent sur le plan national à des élections majeures. Et pourtant, personne ne semble dérangé par l'entêtant remugle écologiste continuellement exhalé par les manuels scolaires, en particulier au collège.

Grande pourvoyeuse de culpabilité, l'écologie, comme le chômage de masse et l'urbanisme boboïste, instille dans les esprits les moins enclins à la réflexion le sentiment d'être rejeté, de polluer quoique l'on fasse, d'être de trop sur Terre.

Il est temps que les manuels scolaires retrouvent une neutralité politique qui n'est, actuellement, qu'une apparence, soutenue par un discours hypocrite. En effet, la neutralité politique de l'éducation n'est inscrite nulle part. Elle n'est que la conséquence d'un principe d'égalité. C'est dire si la tempête lobbyiste déchaînée par les temps modernes a eu tôt fait de la dépouiller.

Voir les commentaires

Neutralité politique dans l'éducation : écologie et hypocrisie

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Verriez-vous, cher lecteur, dans un manuel scolaire disons de géographie, la théorie marxiste de l'économie du capital exposée en long, en large et en travers, saisissant tous les prétextes pour placer ses maximes, illustrer ses principes par l'exemple, moraliser les données exposées, stigmatiser les bons et les mauvais comportements, les bonnes et les mauvaises valeurs, etc.

Eh bien, c'est pourtant ce qui se passe actuellement dans les manuels scolaires avec l'écologie. Jusqu'à présent, l'écologie est une doctrine politique, une façon de moraliser le quotidien, de discriminer le bon du mauvais, d'indiquer une direction utopique propre à orienter nos plus petites actions.

L'écologie est représentée par plusieurs partis, comme le marxisme et ses variantes. Il est présent sur le plan national à des élections majeures. Et pourtant, personne ne semble dérangé par l'entêtant remugle écologiste continuellement exhalé par les manuels scolaires, en particulier au collège.

Grande pourvoyeuse de culpabilité, l'écologie, comme le chômage de masse et l'urbanisme boboïste, instille dans les esprits les moins enclins à la réflexion le sentiment d'être rejeté, de polluer quoique l'on fasse, d'être de trop sur Terre.

Il est temps que les manuels scolaires retrouvent une neutralité politique qui n'est, actuellement, qu'une apparence, soutenue par un discours hypocrite. En effet, la neutralité politique de l'éducation n'est inscrite nulle part. Elle n'est que la conséquence d'un principe d'égalité. C'est dire si la tempête lobbyiste déchaînée par les temps modernes a eu tôt fait de la dépouiller.

Voir les commentaires

<< < 1 2