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Génocide

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Joke nous envoie encore un des réjouissants commentaires dont il a le secret. Quelle verve ! Quel brio !

La première politicienne a mettre le réchauffement planétaire sur le tapis fut Maggie Thatcher en 1988. C'était juste après l'alerte sur le refroidissement planétaire. Tout le monde peut se tromper.
Joke continue dans l'abject : "Négationisme" n'est pas un mot trop fort. C'est un mot stupide.
Il dénote surtout le manque de culture historique. Tant pis ! On attendra...

En attendant, Joke le plaisantin nous communiquera la référence de la foule d'articles scientifique établissant avec certitude la relation entre le climat et l'activité humaine. On lui souhaite bon courage pour ses recherches, avec la certitude qu'il est motivé. Nous, on en a pas trouvé, mais c'est sûrement parce que nous ne voulons pas entendre ce qu'on nous dit avec tant d'insistance...

Un génocide est l'extermination physique, intentionnelle, systématique et programmée d'un groupe ou d'une partie d'un groupe en raison de ses origines ethniques, religieuses ou sociales. C'est la définition que propose Wiki. Je ne suis pas rancunier.

Donc il s'agit bien d'un génocide. Ce n'est pas moi qui le dit : c'est un rapport tout récent de l'ONU suggérant une baisse du nombre d'êtres humains sur Terre pour remédier au prétendu réchauffement planétaire. J'en ai déjà fait état dans un autre article.

Qui va-t-on tuer en premier ? Je suggère qu'on commence par les partisans de cette réduction.
Ensuite, on sera bien tranquille !

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Copenhague 2009 : un génocide programmé

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Les USA ont promis de mettre dans le marbre l'interaction entre homme et climat. Ainsi, il n'y aura plus de contestation possible. Et il faut aller vite puisqu'on risque de se rendre compte que le climat refroidit, comme c'est déjà le cas depuis 10 ans.
Si Copenhague est présenté comme la réunion de la dernière chance, c'est surtout la dernière opportunité pour le clan malthusien d'installer une gouvernance mondiale basée sur la réduction des populations, avant que l'humanité se rende compte avec effroi :
1 - qu'elle n'est pour rien dans cette affaire,
2 - que des personnalités de premier plan ont instrumentalisé la science et son financement à des fins oligarchiques.
Il faut, de toute urgence, un rétablissement républicain.

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Copenhague contre la science

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Copenhague doit être stoppé, c'est une évidence.

Pour finir de se convaincre de l'impérieuse nécessité du doute, on peut voir cette vidéo de Vincent Courtillot qui présente son dernier livre.

"Le débat est licite" dit-il avec raison. Point n'est besoin de traiter son prochain de révisionniste pour avoir raison.

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Copenhague 2009 : comme si la falsification n'avait jamais existé.

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Dans l'article de l'Express sur les prémisses de Copenhague, on parle de tout sauf de l'essentiel. Le titre nous fait croire que le lecteur va comprendre de quoi il retourne. En réalité, l'essentiel est occulté.

Les données du GIEC sont fausses. Des scientifiques l'ont montré depuis plusieurs années. L'affaire des mails du CRU, le scandale appelé Climategate, a dévoilé le pot au roses et les médias institutionnels font comme si de rien n'était.

Wikipédia participe aussi à ce consensus du plus grand nombre, en reprenant la théorie thatcherienne du climat qui se réchauffe, et en tentant de minimiser ce qui représente tout de même le premier scandale planétaire : à l'article Climategate, qui vient d'être écrit en français, un "correcteur" de Wiki s'est empressé de référencer un article du journal Le Monde qui cherche à ramener l'importance de ce flagrant délit à quasiment zéro.

Pour ceux qui s'imaginent que Wikipédia est une révolution, ou même une évolution, c'est juste un outil orienté à prendre avec précautions. Comme l'écrivait Sénèque, peu soupçonneux de "gauchisme", ARGUMENTUM PESSIMI TURBA EST, c'est à dire "L'argument du pire, c'est la foule". En d'autres termes, pour justifier le pire, on utilise l'argument du plus grand nombre, c'est à dire le consensus.

C'est ça ! Comme au GIEC !

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Notre maison brûle et nous regardons Copenhague...

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Des enfants meurent de faim par milliers chaque jours et vous regardez ailleurs...

Des gens s'épuisent pour des salaires de misère et vous regardez ailleurs...

Des gens couchent dehors tous les soirs et vous regardez ailleurs...

L'épidémie de SIDA continue de frapper, en particulier les pays pauvres, et vous regardez ailleurs...

La crise financière mondiale causée par des banquiers sans scrupules met à la rue des familles entières et vous regardez ailleurs...

L'écart entre riches et pauvres s'accroît tous les jours et vous regardez ailleurs...

Monsanto vous vend sa merde sans états d'âme et vous regardez ailleurs...

Votre maison brûle et vous regardez Copenhague...

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Amalgames...

par Erasmus Tharnaby

publié dans Ecologie-Ekologio

Ce court extrait est un exemple de ce que l'on peut trouver de plus naïf sur le net.

L'extrait présente un scientifique qui explique ce que peut exiger une agriculture pérenne, sur le long terme. Son discours est argumenté, rationnel (on peut le penser) et crédible. "Il ne peut y avoir d'agriculture pérenne que si on est sur des sols vivants."

Mais la présentation que l'auteur du site en fait met en relation cette critique de l'agriculture industrielle et intensive, type Monsanto, avec le réchauffement planétaire dont l'origine frauduleuse est issue du même milieu, c'est à dire de la "haute" finance mondiale. C'est une méthode éprouvée : on met du même côté les partis les plus opposés pour semer la confusion chez les tiers observateurs.

En réalité, il faut simultanément lutter contre la mainmise de Monsanto sur l'alimentation mondiale (et le risque de famine généralisée qu'elle peut produire) et contre les tromperies du GIEC et, demain, de Copenhague.

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Greenpeace et la démocratie

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Ce qui s'est passé à l'Assemblée Nationale hier devrait pourtant ouvrir les yeux de la gauche française. C'est à désespérer de l'esprit critique de nos concitoyens qui continuent d'associer les meilleurs sentiments démocratiques aux valeurs véhiculées par les écologistes. Comment en est-on arrivé à cette manipulation massive ?
Une association non-gouvernementale viole les règles parlementaires les plus élementaires pour court-circuiter un débat concernant le sujet qui la préoccupe.
Ce débat, démocratique par essence, ne lui convient pas, visiblement.
En réalité, Greenpeace et le WWF défendent les intérêts d'une caste opposée à la démocratie nationale et luttant pour imposer au monde une governance mondiale fascisante.

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Copenhague : comment faire oublier la fraude ?

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Comment faire oublier la fraude du GIEC avant Copenhague ?
En faisant encore plus de bruit que d'habitude. C'est pourquoi des militants de Greenpeace ont, de façon un peu ridicule, cherché à faire parler d'eux aujourd'hui. Banderoles, alerte à la bombe à l'Assemblée Nationale, tout cela reste bien pitoyable pendant que les enjeux géopolitiques du sommet danois se précisent.
Il s'agit plus que jamais d'une tentative pour imposer une gouvernance mondiale basée sur la peur (celle du terrorisme, d'une catastrophe écologique, de la crise économique, etc.) et dont le bras armé serait la nébuleuse onusienne et le centre nerveux la "haute" finance, George Soros en tête.
Si vous voulez en savoir plus sur la falsification des données du GIEC, et la tentative de putsch à laquelle nous assistons à l'heure actuelle, il faut lire le dossier spécial que Solidarité et Progrès consacre à ce sujet (pour le prix modique de 10 euros + 3 euros de port).

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Musique mécanique

par Erasmus Tharnaby

publié dans Europe-Euxropo

Voici une petite video tchèque qui ne va peut être pas plaire aux musiciens écolos...

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Ecologie et christianisme : la confusion des genres

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Dans un blog consacré au christianisme, le journalisme Patrice de Plunkett nous propose d'associer l'écologie et le christianisme.
Cet auteur nous propose une lecture du psaume 18 (ou 19, selon la numérotation choisie) qui mettrait, selon lui, en scène l'écologie à travers une évocation du rayonnement de la Loi divine sur la création.
Le texte peut pourtant être lu d'une façon bien différente si l'on prend attention à la première partie : "Pas de paroles dans ce récit, pas de voix qui s'entende; mais sur toute la terre en paraît le message et la nouvelle, aux limites du monde."
Il est surtout question de la présence non-dite du verbe, et les limites du monde, lorsqu'elles se trouvent sous la lumière de l'indicible, restent hors d'atteinte.
Il est bien difficile de raccrocher cette évocation à l'écologie. On pourrait même avancer la thèse selon laquelle l'écologie se situe aux antipodes de cette description du rayonnement sans limite connue du verbe divin.
En effet, depuis l'invention des concepts qui ont mené à l'apparition de l'écologie théorique, il n'est plus question que de systèmes. L'écologie est la "science" des interactions entre l'homme et son milieu, ou un être vivant et son milieu, dans la mesure où l'on définit deux, et non pas une, clôture : la première entre l'homme et le milieu et la deuxième pour circonscrire ce que l'on entend par milieu. C'est ce qui explique que, depuis son invention, l'écologie devienne le refuge des concepts liés à la pureté, voire à l'eugénisme.
Laissant de côté l'aspect anecdotique de cette hypothèse, qui plongent ceux qui la défendent dans l'inévitable péché de rhétorique, on est obligé de constater qu'écologie et christianisme, du moins le christianisme universel défendu par Nicolas de Cuse par exemple, sont strictement antinomiques du point de vue des concepts d'universalité et de limite.
Il est donc assez cocasse de voir certains catholiques, gauche et droite confondus, se vautrer dans l'écologie, l'environnement et toutes ces sources inépuisables de bonne conscience pas trop chère, sans avoir au préalable cherché où ils mettent les pieds.
Mais il est aussi plutôt affligeant de voir revenir une théorisation "en profondeur" de la pureté dans le cadre d'un christianisme très à droite, parfaitement en harmonie avec ce fonds idéologique.

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