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Méthane vs CO2, qui dit mieux ?

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

En parcourant les innombrables blogs sur le réchauffement climatique, qui font écho aux "Vite, ça chauffe !" ou aux "L'énergie est notre avenir, économisons la." des publicitaires du climat, une donnée ne cesse de me surprendre : l'extraordinaire pouvoir du méthane par rapport au CO2.
Il y a sûrement une raison.
En attendant, notre méthane a des hauts et des bas. Loin de moi l'envie de carboniser les savants auteurs de ces papiers scientifiques mais on trouve ici que le méthane a un pouvoir de réchauffer notre atmosphère par l'effet de serre 20 fois plus puissant que le CO2. Has been, les éoliennes ! A quoi peut bien servir de se chauffer moins, de rouler moins si nos vaches pètent et rotent pour nous ?
Chez le nerveux Joke, ce pouvoir monte à 25 fois celui du CO2. Plus fort que le roquefort.
Enfin, le Figaro rapportait en 2008 les travaux d'une palanquée d'éminents chercheurs qui attribuent aux prouts et aux burps 100 fois plus de raison de s'en méfier que d'éviter le CO2.
Enfin, ce site allemand et le site très "pédagogique" de J.M. Jancovici nous avoue que le gaz le plus efficace en terme d'effet de serre est... la vapeur d'eau !
Je ne sais pas si, face à tant de raison, on se situe dans le domaine scientifique mais au moins ça risque encore longtemps d'épater le gogo.
Et notre ami Joke d'indiquer : "Sachez que notre appétit pour les bonnes grosses côtes de bœuf se paye lui aussi au prix fort."
Ah là, vraiment trop fort. Ce Joke est vraiment un joker...

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Objet...

par Erasmus Tharnaby

publié dans Ecologie-Ekologio

Je pense que le domaine que j'essaie de documenter est très vaste et que j'y vais, comme on dirait, "avec une petite cuillère". J'en suis le premier désolé.
Donc soit on est patient, soit on s'énerve. Je sens que Joke, qui n'est pas un "joker" et sait de quoi il parle, commence à s'énerver car le principe de ce blog est de mettre le doigt sur ce que l'on prend pour des EVIDENCES à force de se les faire seriner par des gens qui passent à la télé, ou par de petits messages explicites ou plus discrets, à la radio, dans les journaux, comme une urgence.
Quand on touche à un endroit sensible et inattendu, la réaction peut être brutale.
C'est pour ça qu'au message suivant, Joke perd ses moyens et parle de "révisionnisme".
Donc, comme Joke est quelqu'un de sérieux et qu'il a des arguments, je vais essayer d'être plus clair.
Pour être plus précis, j'utilise des moyens adaptés à la situation.
Je pars de l'hypothèse, avec l'argument Ecologie=Idéologie, que l'argumentation écologiste n'est pas LOGIQUE mais RHETORIQUE, c'est à dire qu'elle ne part pas d'hypothèses connues vers des conclusions à découvrir par déduction, mais qu'elle part de présupposés et qu'elle cherche tous les moyens possibles pour nous les faire admettre en manipulant notre intime conviction, tout ça en essayant de se donner l'aspect indubitable d'une science déductive.
Rien n'est plus faux.
Tout ce montage rhétorique autour de" la fin du monde pour demain matin" n'est donc qu'une vaste plaisanterie qui sert de masque à des sociétés multinationales pour continuer à se faire du pognon sur le dos du plus grand nombre.
Sur le plan idéologique :
L'écologie se donne des airs de parti de gauche, elle se nourrit maintenant elle-même par l'opinion sincère de militants admirables, mais au fond, le fond du fond, le fond du fond du fond, c'est qu'il s'agit d'une idéologie issue de l'eugénisme.
Sur le plan scientifique :
L'objet d'une science n'est pas d'attester des faits. Ça, c'est le rôle de l'histoire.
L'objet d'une science est de découvrir des paradoxes et d'émettre des hypothèses qu'on essaie de vérifier.
Or, la rhétorique écologiste se borne à établir des faits (1ère erreur) qui ne sont en aucun cas des paradoxes (2ème erreur). Ce sont, tout au plus, des problèmes entre l'homme et son environnement qui appellent des solutions politiques et économiques.
Comme l'écologie procède dans le sens rhétorique, c'est à dire en partant des conclusions, je fais la même chose.
Comme l'écologie cherche à établir des faits pour servir ses conclusions (qui ne sont pas toujours clairement énoncées mais qui n'échappent pas à l'enquêteur avisé), je fais la même chose. Je rappelle des faits établis (les origines de l'écologie sont très bien documentées) et je commente l'actualité dans le sens de la rhétorique que j'ai choisi.

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Un article écologique

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Voici un article qui fait du bien à la planète. Je l'ai écrit avec mes doigts après m'être alimenté avec de la nourriture élevée en plein air. Je respire de l'air constitué à près de 100% de produits naturels comme l'oxygène et l'azote. Je l'ai réfléchi lentement dans une maison bio, constituée exclusivement de matières minérales sélectionnées.
Je n'emploie que des mots certifiés compatibles avec la norme environnementale HQE par un organisme agréé, la société Robert. Je les couche avec parcimonie sur un support biodégradable puisque 100% volatil. Ces mots ne font de tort ni aux animaux en voie de disparition, ni aux pousses de soja même trangéniques, ni même à Nicolas Hulot dont il faut préserver la couche (d'ozone). Ils respectent la sylvette de Kirtland, l'ours d'Amazonie et les acariens.
Votez donc en masse pour cet article 100% biologique, et dépêchez-vous puisque ça chauffe !
(Je veux dire : mon repas chauffe). Merci d'avance.

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Article écologique

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Voici un article qui fait du bien à la planète. Je l'ai écrit avec mes doigts après m'être alimenté avec de la nourriture élevée en plein air. Je respire de l'air constitué à près de 100% de produits naturels comme l'oxygène et l'azote. Je l'ai réfléchi lentement dans une maison bio, constituée exclusivement de matières minérales sélectionnées.
Je n'emploie que des mots certifiés compatibles avec la norme environnementale HQE par un organisme agréé, la société Robert. Je les couche avec parcimonie sur un support biodégradable puisque 100% volatil. Ces mots ne font de tort ni aux animaux en voie de disparition, ni aux pousses de soja même trangéniques, ni même à Nicolas Hulot dont il faut préserver la couche (d'ozone). Ils respectent la sylvette de Kirtland, l'ours d'Amazonie et les acariens.
Votez donc en masse pour cet article 100% biologique, et dépêchez-vous puisque ça chauffe !
(Je veux dire : mon repas chauffe). Merci d'avance.

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La Chine et son développement

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Un lecteur me fait le commentaire suivant (j'espère ne pas trahir sa pensée) :
"Les chinois immatriculent 10000 voitures par jour. Lorsqu'ils auront atteint un certain niveau de motorisation, ils vont manger les récerves pétrolières beaucoup plus vite que nous ne saurions le prévoir."
Je le remercie de la pertinence de son argumentation.
L'opinion sous-jacente au discours écolo-malthusien consiste à penser que ce développement important de la Chine actuellement comporte plus d'aspects négatifs que d'aspects positifs.
Raisonner en pensant que ces populations ne trouveront pas de solutions intelligentes à leurs problèmes, ici celui de la pénurie de ressources minérales, mène toujours à des prévisions erronées. Voyez le Club de Rome !
S'il n'y a plus de pétrole quand les chinois se mettront à la voiture, ils trouveront les solutions que nos industriels tardent à trouver et ils les rendront performantes. Pendant que les banques européennes continuent de fermer leurs robinets financiers aux entreprises innovantes, les chinois font des tontines et avancent sur le chemin qui aurait du être le nôtre : passer la locomotion individuelle à l'électrique.
Mais tout cela, ce n'est pas de l'écologie, c'est de la technologie, de la politique et de l'économie.
C'est très pratique, pour les gouvernants de passer toutes ces questions à la moulinette de l'écologie. Pendant que la recherche universitaire, c'est à dire PUBLIQUE, est passée à la moulinette de la rentabilité et de la RGPP (Révision Générale des Politiques Publiques), c'est une bonne affaire !
- Ça culpabilise les populations et ça les rend plus dociles. Voyez la taxe carbone !
- Ça dédouane les politiques de tout manquement, puisque le réchauffement, la pénurie, tout ça est de la faute des masses, fussent-elles laborieuses !
- Ça leur évite de se coltiner les banques !
- Ça fait des kilos d'articles à sensation dans la presse en général !
- Ça amalgame tout un tas de problèmes différents pour les rendre incompréhensibles à un public qui NE DOIT PAS s'intéresser à l'économie et à la politique.
Bref, ces questions sont politiques et économiques. Les classer dans la rubrique Ecologie est une BONNE AFFAIRE pour les gouvernements et leurs valets, les journalistes.
Voyons donc avec un regard positif ce qui est bon pour notre "frères humains".

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GIEC

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Le but de ce blog n'est pas de remettre en cause le réchauffement climatique mais plutôt son affirmation scientifique. Ce qui n'est déjà pas si mal.
Le déroulement du GIEC et les polémiques susceptibles de mettre en doute ses conclusions, ou en tous cas leur caractère scientifique font craindre l'entourloupe. Il y a des précédents dont je parlerai quand l'actuallité m'en donnera l'occasion.
Il suffit d'écouter les médias, les pubs pour EDF, pour je ne sais quel produit supposé réduire la production de CO2, pour comprendre, face à cette incertitude, qu'on est face à un bourrage de moût massif.
Le film d'Al Gore en est un excellent exemple. Ses raccourcis et ses approximations, son alarmisme et même ses erreurs, en bref son caractère propagandiste ont effrayé jusqu'aux Anglais qui ont interdit que ce film soit passé massivement dans les écoles comme c'était prévu !
Dans le reste du blog, j'essaie de documenter tout cela, et en particulier les origines eugénistes de l'écologie, et de commenter l'actualité à la lumière de cette réflexion critique. J'ai bien conscience que cela peux ne pas plaire.
Mais si on veut admettre scientifiquement que le réchauffement s'il existe est d'origine humaine, on doit aussi entendre avec la même attention et le même esprit critique les chercheurs qui disent le contraire.
Là, ça commence à être de la science.

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Encore du cinéma

par Erasmus Tharnaby

publié dans Cinéma-Kino

Pour ceux qui douteraient que le film d'Al Gore An Inconvenient Truth est un mauvais film de propagande destiné à donner bonne conscience à quelques patron qui rêvent de poursuivre leurs affaires tranquillement, on peut lire ceci.
On y lit notament que les contributeurs ont pour nom Soros (qualifié dans l'article de philanthrope !), Ted Turner, Steve Jobs, tous de sincères humanistes...
On peut d'ailleurs vérifier par soi-même que la doctrine d'Al Gore n'est rien d'autre que du capitalisme pur jus, avec tout plein de bonnes intentions dedans.
Tous ces joyeux drilles qui ne veulent que notre bien se sont mis en quatre pour une opération baptisée Truth Campaign (sic). Etant données toutes les approximations et contre-vérités du film, il va y avoir du boulot !

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2012 : encore un apocalypse...

par Erasmus Tharnaby

publié dans Cinéma-Kino

Encore un gros bizeness sur le dos de la sauvegarde supposée de la planète !

Aucun suspense : nous serons tous coupables !

C'est d'un banal...

Nous serons si petits et la planète si grosse et si coléreuse.

Voilà le retour du religieux le plus archaïque : un dieu-planète en colère et un apocalypse avec peut-être -- mais quelle importance ? --  quelques êtres humains sauvés par leur vertu et leur courage...

Ça fait écho au film gore d'Al Gore, Une vérité qui dérange, qui accumule les approximations, les amalgames et les raccourcis. De la fiction à la fiction, on n'est plus à ça près, et après tout, c'est peut-être une bonne chose de prendre du recul avec une fiction qui s'assume plutôt qu'une invention qui se prétend véridique...

Bref une grosse machine à pognon destinée à nous faire culpabiliser et oublier que le réchauffement planétaire est un mythe créé par une faction de possédants pour assurer la pérennité de leurs avoirs.

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Ecologie et cybernétique

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

« L’existence de pays nouveaux favorisa une conduite qui ressemble à celle du Goûter Fou d’Alice au Pays des Merveilles. Quand le thé et les gâteaux furent épuisés devant leur chaise, le Chapelier Fou et le Lièvre de Mars ne trouvèrent rien de plus naturel que de ’circuler’ et d’occuper la chaise suivante. Quand Alice leur demanda ce qui se produirait lorsqu’ils seraient revenus à leurs places initiales, le Lièvre de Mars changea de conversation. Á ceux qui croyaient que l’histoire passée n’avait pas duré plus de cinq mille ans et qui s’attendaient à ce que le Jugement dernier les atteignît en moins de temps encore, cette politique du Chapelier Fou ne pouvait que sembler très naturelle. Mais le temps a passé et la table à thé des Amériques ne s’est pas montrée inépuisable ; de plus, en fait, la vitesse à laquelle une chaise a été abandonnée pour la suivante s’est accrue à une allure probablement toujours accélérée. Combien d’entre nous ne voient pas à quel point ces quatre derniers siècles sont une période vraiment exceptionnelle de l’histoire du monde ! C’est en partie le résultat de l’accroissement des communications, mais aussi celui de la maîtrise de la nature. Mais au mieux, nous extrayons du monde le peu que nous laissons : dans cette longue course nous aurons certainement un jour à payer nos dettes ; ce sera sans doute au moment même où cela n’ira pas sans de grands inconvénients pour notre survie. » (Norbert Wiener, Cybernétique et Société, 1954)

Jérôme Gleize tire de cette citation et d'autres données tout aussi partisanes une foule de conclusion allant toujours dans le sens de confirmer l'hypothèse de départ. On est bien avancé !
Il n'est pas du tout étonnant que le co-fondateur de la cybernétique (il y avait aussi Shannon qui, lui, ne partageait pas nécessairement les visions millénaristes de son collègue) se mette à l'écologie puisque les deux pseudo-sciences ont des origines communes, en particulier le concept de système fermé qui, à la fin du 19ème siècle mène au Second Principe de la Thermodynamique. De nombreux chercheurs du MIT deviendront, à la surprise générale, de fervents écologistes comme Gregory Bateson. Il y eut aussi Bertrand Russell, petit-fils de John Russell, premier ministre de la Reine Victoria et eugéniste notoire. Bertrand Russell fut un serviteur zélé de la cause malthusienne, même s'il ne fit jamais partie de la Royal Eugenics Society.
Dans son article, Gleize mélange tout :
"Les optimistes pensent alors que le rythme de découvertes des gisements de pétrole va se poursuivre, qu’il existe toujours des chaises sur lesquelles nous pouvons nous asseoir."
En effet, cette remarque revient à dire que, puisque la prédiction selon laquelle les ressources sont finies ne s'est pas réalisée grâce en particulier au progrès technique et aux découvertes de nouvelles ressources, elles se termineront de toutes les façons puisque ces ressources sont finies. Dit plus vite : "Puisque j'ai tord, j'ai raison !"
On peut dire aussi : "Puisque le chat de la voisine a volé un gigot, les ressources sont finies."
Ou bien : "Puisqu'il existe encore des esprits tordus pour écrire des articles n'ayant ni queue ni tête, les ressources sont finies."
Etc., etc.
Ce n'est pas pour dire que le pétrole va couler à flot pendant encore des milliers d'années, ce qui est évidemment illusoire. Mais la faculté des écologistes malthusiens en général pour transformer cette simple réalité de bon sens en menace millénariste nous ramène immanquablement au discours de propagande. Les deux chocs pétroliers précédents ont été soigneusement orchestrés par Wall Street et la City de Londres, c'est un fait bien connu et documenté. Comment continuer à promettre la fin du monde en agitant ces épouvantails ?
Il faut d'abord bouter hors des circuits de pouvoir les argentiers de la City. Pour le pétrole, les choses se passeront en douceur et les progrès technologiques feront le reste. On parie ?

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Couvre-feu pour les mineurs

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

La tendance politique actuelle est toujours de choisir le côté répressif au détriment de toute autre solution. Cette direction, jamais démentie depuis que Sarkozy est au pouvoir est plus ancienne. Elle trahit surtout un reflexe d'exclusion qui rapproche encore davantage l'humanité et ceux qui la gouverne d'une animalité très revendiquée par le clan écologiste.
On ne mange pas ses semblables.

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