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Cécile Duflot à Paris ? Le loup dans la bergerie !

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

   Pendant que Cécile Duflot se tâte pour candidater aux municipales de 2014 à Paris, on apprend (Info Obs) que Delanoé pèse de tout son poids dans les négociations PS-Ecolo pour qu'elle ne soit pas candidate dans les circonscriptions laissées aux malthusiens.

   Delanoé doit se mordre les doigts d'avoir laissé entrer le loup écolo dans la bergerie parisienne. On l'espère tout au moins, car après les nuisances causées aux parisiens quotidiennement par la politique anti-voiture, plannifiée par Cochet, l'apparition des gentils écolos dans les mairies signifierait pour les Parisiens encore moins de places de stationnement, encore plus de restrictions pour la libre-circulation des véhicules automobiles (péage à l'entrée de Paris, suppression de voies, blocus de quartiers entiers pour des journées festives), tout ce que le maire de Paris à déjà expérimenté pour empoisonner la vie des riverains, mais en pire.

   Il ne faut pas se méprendre, cher Parisien : après avoir transformé votre voisinage en Paradis sur Terre, asseptisé, javélisé, piétonnisé, biclardisé, dé-pauvrisé, après avoir exclu de votre entourage tout ce qui ressemble à un pauvre travaillant à plus de 15' de chez lui, les écologistes ne s'en tiendront pas là.

   C'est l'essence de l'utopie.

   Il n'y a pas de limite à la notion d'impureté et l'écologie fera de votre ville un enfer blanc.

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Arrêt du nucléaire : un slogan simple et con

par Erasmus Tharnaby

publié dans Ecologie-Ekologio

Eva Joly l'a encore redit dans le quotidien L'Alsace : il faut sortir du nucléaire.

Le risque d'un slogan simple, c'est qu'il est souvent con.

Pour s'en convaincre, il suffit de lire l'article du dernier numéro de l'hebdo Marianne sur l'arrêt du nucléaire en Allemagne : pour compenser le déficit énergétique, le pays est obligé de faire appel à un exploitant suédois qui construit et exploitera une gigantesque centrale thermique au lignite, un ersatz du charbon généreux en CO2.

D'autres arguments sur Marianne 2 à ce sujet : l'auteur y voit un danger pour notre sécurité.

J'avais écrit, au début de ce blog, sur la nature essentiellement vicieuse et malthusienne de l'écologie. Vicieuse car exigeant une double contrainte. Ici, par exemple : moins de nucléaire et moins de CO2 à la fois.

Malthusienne, car la seule façon de résoudre ce dilemme est la réduction de la population. De fait, TOUS les écologistes sont malthusiens, même Paul Ariès.

Malthusien, ça veut dire plus de guerre et plus de famines. Ce n'est heureusement pas la direction que prend l'humanité.

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Green ride : en attendant l'écologie profonde

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Faire du vélo contre le réchauffement climatique, encore une idée des petits propagandistes de l'écologie. Sachant que, d'après leurs propres estimations,  les gaz d'échappement n'entrent que pour une part minime dans la hausse du taux de CO2, il s'agit surtout de "marquer les esprits", c'est à dire faire de la propagande.

Aujourd'hui, le niveau à partir duquel on considère que l'on pollue est beaucoup moins élevé dans l'esprit des gens que pendant les années 60, par exemple. Est-ce pour autant que l'exigence écologiste s'est calmée ? Pas du tout !

L'écolo a toujours faim. Les efforts ne sont jamais suffisants. Aujourd'hui, c'est le bilan énergétique des logements qu'il faut revoir, hier c'était le pot d'échappement des voitures, demain ce sera toute la production d'énergie qu'il faudra diviser par deux et compenser à la bougie quand le vent tombe.

Bienvenue en terre d'Utopie, où nous allons tous au travail en sifflotant à quelques coups de pédales de chez nous.

Bienvenue en terre d'utopie où, demain, se déplacer à vélo, travailler, exister même deviendra insupportable aux ayatollahs du tofu biodynamique. Pensez ! La production du vélo en matériaux recyclables, l'usure de la gomme en fibre de cannabis recyclée sur du bitume en protéïne de soja polymérisée, tout cela semblera insupportable au censeur vert.

Bienvenue dans un monde meilleur d'où l'espèce humaine toute entière sera enfin éradiquée, puisque c'est le programme de l'écologie profonde.

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Re-open 9/11

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Malgré les flonflons dans tous les médias (depuis TROIS JOURS déjà sur France-Inter et France 2), un sondage HEC révèle que 58% des français ne croient pas à la version officielle des attentats du 11 septembre.

Aucun rapport avec l'écologie, à l'exception notable de la notion de bourrage de crâne, inefficace pour le 9/11 mais encore omniprésente en ce qui concerne l'écologie.

Gavé de l'écologie, rejoins-nous ! Manifeste ton esprit critique sur ce blog !

 

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Limeil-Brévannes : un clan a pris le pouvoir dans notre pays !

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

NKM s'est précipitée devant les caméras pour le coup d'envoi de l'enlèvement des déchets dans la décharge-monstre de Limeil-Brévannes. Cette accumulation est dûe à un certain nombre de circonstances à laquelle n'est pas étranger un certain affairisme de droit commun.

Qu'importe, c'est la ministre de l'écologie qui s'affiche auprès des pelleteuses.

Pourquoi pas la ministre de la santé, puisqu'il s'agit avant tout d'un problème de santé publique ?

Pourquoi pas le ministre de l'industrie, puisqu'il s'agit d'un problème de déchets issus d'activités industrielles ?

Pourquoi pas le ministre de la justice, puisque les circonstances qui ont mené à cette situation sont en grandes partie entâchées d'illégalité ?

Pourquoi pas le ministre de l'intérieur, accompagné de sa police ?

Pourquoi pas le premier ministre ?

Pourquoi pas le président ?

L'écologie n'existe pas, mais il faut un ministre de l'inexistance, du virtuel, de l'utopie pour remplacer d'un seul coup tous ces fantômes réunis. Comme le dit Eva Joly, "un clan a pris le pouvoir dans notre pays", c'est le clan de l'écologie.

Comment économiser d'un seul coup 13 milliards d'euros dans le budget de l'Etat ?

En supprimant ce ministère fantôme qui pourrait être remplacé avec profit par tous les ministères vraiment concernés par les problèmes de santé publique, d'industrie, de justice, de sécurité, etc.

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Débat sur l'identité sexuelle ? Et quid de l'écologie ?

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Ce qui est amusant, avec les médias, c'est que l'arbre cache souvent la forêt, fût-elle gérée de façon équitable. C'est le cas avec ce nouveau faux débat sur l'identité sexuelle. Tout le monde sait déjà que ce sont 80 députés UMP qui passeront pour des scrongneugneux. Luc Chatel fera semblant de regarder ailleurs (ça va être dur tant la rentrée scolaire menace d'être du grand n'importe quoi) pendant que les abonnés à Libération ou à Télérama, voire aux deux pour les plus irrécupérables, crieront à la censure et défendront bec et ongle le droit à l'auto-détermination sexuelle et au rêve éternel.

Le vrai scandale est donc ailleurs (là où ne regardera pas non plus Luc Chatel). Les manuels scolaires, en particulier ceux de SVT mais pas seulement, sont truffés d'allusions plus ou moins directes à tout un tas de concepts écologistes parfaitement fumeux comme la bio-diversité ou l'environnement.

Ces concepts, relevant de la pensée magique, prétendent donner à la science un caractère divinatoire quasi-religieux. Cette idéologie, martelée par les grands acteurs médiatiques depuis les années 60, relayée jusqu'à la nausée par toutes les chaînes de télévision de la Terre aujourd'hui, n'a rien à faire dans un manuel de SVT ou de Géographie. Pire encore, au nom de la citoyenneté (encore un concept étrange...), les élèves parfois très jeunes sont conditionnés pour associer à des gestes simples, comme le tri sélectif des déchets, une dimension planétaire à faire baver n'importe quel gourou d'opérette.

Alors avant d'entamer ce débat perdu d'avance, il est urgent de faire le tri sélectif dans les programmes et les livres de nos enfants et de leur inculquer un sens critique qui manque à bien des journalistes et bien des députés : l'écologie est une imposture religieuse.

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L'Esperanto au Baccalauréat

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Une pétition lancée conjointement par Esperanto-France et SAT-Amikaro et parrainée par Albert Jacquard demande l'inscription de l'Esperanto parmi la liste des langues disponibles en option au Baccalauréat, au même titre que l'Anglais, l'Espagnol, l'Allemand, le Chinois, L'Arabe ou le Breton.

Il est important de la signer rapidement et de la faire signer. C'est une façon de faire connaître notre langue et d'inciter les jeunes à l'apprendre.

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Bienvenue au Palais de la Voiture !

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Un nouveau blog chez les gavés de l'écologie : Le Palais de la Voiture.

Comme disait Philippe Muray : "Depuis que je connais Delanoé, j'aime les voitures..."

Courez-donc bien vite au Palais de la Voiture.

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Ecologie, flicage et déprolétarisation

par Erasmus Tharnaby

publié dans France-Francio

Hier, je suis allé dans un magasin d'une célèbre enseigne de matériel de sport pour m'acheter deux pièces de vêtement. Le personnel chargé du conseil est trop occupé et je choisis seul ce qui me convient puis je passe à la caisse. La caissière, pardon, l'hôtesse de vente ne me propose pas de sac pour emballer mes achats aux couleurs de l'enseigne. Il n'y a aucun espoir pour cela : la chaîne de magasin se pare d'une image écologiste et la seule conséquence de cette attitude est de me priver du bénéfice d'un sac gratuit où mettre mes emplettes.

Au passage, la conséquence immédiate pour l'enseigne est d'économiser le coût des sacs qui autrefois étaient gratuits.

L'autre conséquence pour l'enseigne, comme pour toutes les enseignes qui ont compris l'intérêt de cette démarche, c'est la culpabilité infusée dans l'esprit du client. Et la culpabilité se traduit toujours en monnaie trébuchante pour le commerçant, un jour ou l'autre.

Je reviens à la caisse de cette célèbre enseigne de matériel sportif.

Le paiement s'effectue par carte bancaire. C'est moi qui insère la carte, et l'enlève après la transaction. L'hôtesse bricole avec le client suivant pendant ce temps. En d'autres termes, l'enseigne me fait faire le travail de son employé et encaisse la différence (une à quelques dizaines de secondes à chaque client) tout en supprimant des emplois. C'est ce que j'appelle la déprolétarisation.

Puis l'hôtesse de vente me demande mon code postal. Bêtement, je le lui dis. Puis je réfléchis. J'aurais dû faire le contraire. Réfléchir d'abord et ne pas le donner ensuite. Car non seulement l'enseigne ne me donne pas de sac, mais en plus elle me demande une information privée. Certes, la requête ne conditionne pas l'achat. J'imagine que, si je ne dévoile pas mon code postal, la transaction se passe comme il faut.

Néanmoins, si je fais le bilan :

- la célèbre enseigne d'articles de sport fait peser de tous son poids l'idée que ma présence sur Terre est totalement superflue, (c'est le message de l'écologie)

- elle ne me donne pas de sac pour mettre mes emplettes,

- elle me fait faire le travail de son employée,

- elle me demande une information privée sans contrepartie ni informations sur son emploi.

Désormais, j'échangerai un sac contre mon numéro de code postal.

Ecologie, flicage et déprolétarisation, les nouvelles divinités du spécialiste en marketing.

 

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Le point sur les scooters électriques

par Erasmus Tharnaby

publié dans Monde-Mondo

Actuellement, de nombreux modèles apparaissent sur le marché. La principale nouveauté tient à ce que ce ne sont plus de petites sociétés artisanales, encore relativement confidentielles, qui lancent de nouvelles machines mais bien de gros constructeurs qui semblent avoir compris que l'avenir de l'électrique passe par le scooter avant de passer par la voiture. A quelques exceptions près. Meme e-Max, conçu au départ par une société allemande, rachetée d'abord par des chinois, a été repris à son compte par VMoto, une grosse boutique australienne.

Aujourd'hui, dans la plupart des cas, le prix de ces nouveaux modèles n'est pas prohibitif et tend à soutenir la comparaison bien qu'il soit parfois difficile de trouver une comparaison qui ait du sens entre un scooter électrique et un scooter thermique en terme d'utilisation et d'entretien.

En attendant un point plus complet :

  • Début juillet, BMW a sorti un nouveau modèle, le E-Scooter.
  • Honda sortira son EV-Neo en 2012.
  • On attend pour cet automne le e-Vivacity de Peugeot. Alors qu'il semble disponible en Espagne.
  • Yamaha sort le EC-03.
  • Tandis que Matra propose le E-MO.
  • Il y a toujours la gamme e-Max de VMoto avec le nouveau 120S doté de batteries au silicium contrairement à son grand frère le 110S qui, lui, garde des batteries plomb.

N'hésitez pas à remonter des commentaires sur ces machines.

Il est important de montrer que cet afflux de modèles illustre la volonté de notre société actuelle de surmonter l'obstacle que constitue l'idéologie écologiste. Les constructeurs et les conducteurs de 2 roues électriques ne sont pas des bienfaiteurs de l'humanité ("Gnan-gnan-gnan... c'est bon pour la planète !") mais des gens qui calculent et cherchent des solutions aux obstacles imposés par les pouvoirs dits publics, aujourd'hui largement noyautés par l'écologie.

 

 

 

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